Slam Dunk -- 10 days after
SWITCH
Feb. 2005, Vol 23. N°2.
Héhé. ça commence avec une petite pub pour le gel Uno de Shiseido (c'est une version statique de la pub télé où ça dessine au sol, avec les gens plus ou moins déshabillés qui courent dans tous les sens...pas celle-ci), page 6.
Mais ça, on s'en fiche, ça ne s'achète pas pour ça. Suit donc immédiatement le sommaire (je met simplement la première partie, l'autre on s'en fiche), puis un petit mot de l'éditeur...
Ce qui est consacré à Inoue dans ce magazine est donc divisé en trois parties.
A partir de la page 20, petite présentation de la chose, des lieux, de l'ambiance. Quatre pages en n&b. On continue en s'approchant de la fameuse (même s'il n'y en a plus qu'une seule et unique pauvre salle de cours qui aura servi, cela va de soi) salle de classe. A partir de la page 24, la partie COMIC débute.
Et puis là, après ces deux pages de présentation...les visuels de l'ensemble des dessins réalisés par Inoue sur cette petite période. Des petites histoires sur les membres de Shohoku, 10 jours après la fin de Slam Dunk. Bave. Sakuragi, Rukawa, Akagi, Mitsui, Miyagi, Kogure et quelques autres personnages par-ci par-là, tout le monde est là. Des petits strips. Organisation qui donne parfois un air étrange, mais on peut tout de même supposer que la majorité des strips sont présents dans le magazine.
Quel dieu de l'anglais ce Rukawa...Petit rappel des faits. Début décembre 2004 (l'exposition a eu lieu entre les 3 et 5 décembre), Takehiko Inoue dessine un peu sur les tableaux de salles de classes d'un lycée desaffecté (ressemblant vaguement à celui, désormais mythique, de Shohoku). A la craie, sur tableaux, quelques petites histoires. Slam Dunk — 10 days after est là. Une petite exposition, en quelque sorte. Seulement quelques jours (trois, donc...), les dessins sont visibles au public. Le magazine SWTICH, malin comme un singe malin, vient prendre des photos. Inoue qui dessine, les tableaux eux-mêmes, les gens qui viennent, une interview d'Inoue, tout ça est photographié et mis dans le numéro de février 2005. Alors bien évidemment, on n'a pas tout ce qu'il y avait, mais c'est déjà pas mal... D'ailleurs faut pas le dire, mais des scans sont trouvables (bien sûr, ça ne remplace pas vraiment la coulitude de l'avoir entre les mains), j'avoue d'ailleurs m'en être un peu servi (prendre des photos d'un magazine, c'est lourd, c'est nul, et je n'ai pas souvent de scanner sous la main) pour ceci.
Enfin bref, le SWITCH est réalisé de telle manière que cela s'achève sur une petite histoire de Sakuragi. Qui papote avec une infirmière...pour finir sur un plan de dos du bonhomme, les yeux perdus dans l'horizon...
Tout cela est suivi par quelques photos montrant Inoue en train de bosser sur ses tableaux.
Puis les six fameux portraits. Là aussi, petit rappel. Le 8 aout sont sortis dans les 6 plus grands quotidiens japonais six portraits, un par journal (je précise au cas où...), pour fêter la vente des 100 millions de volumes de Slam Dunk vendus. Par odre alphabétique et par taille fluctuante, donc.
Pour s'achever sur un petit mot de l'auteur, sur un tableau.
En tout cas, on peut voir quelques (trois) pitites vidéos concernant le sujet sur le site d'Inoue. Qui montrent les visiteurs, la salle pleine de gens qui lisent des volumes de Slam Dunk mis à leur disposition, des T-shirts vendus dans le coin, un petit match de basket dans le gymnase du lycée en question.
Et quelques photos qui vont avec. Des gens qui viennent, observent, voient, lisent, écrivent, dessinent, jouent au basket, sont contents d'être là. Inoue qui vient, observe, voit, lit, écrit, dessine, joue au basket et est content d'être là. Gotta love it. (tout est plus ou moins mis en vrac).
Suit la partie DOCUMENT. Qui montre, elle, en gros, ce qui s'est passé là-bas. Les gens qui lisent, voient, prennent des photos. Partie sur ça et sur l'environnement de l'exposition.
Mais ça n'est même pas fini !
Le magazine propose une interview de Takehiko Inoue (partie INTERVIEW donc).
Si vous cliquez dessus, vous verrez que c'est comme qui dirait flou...Sans déconner ? Et bien oui, c'est de la poésie imagée, sois content. En tout cas, 5 pages de parlotte, coupée ou non avec des photos.
'L'est-y pas beau Monsieur Inoue ?
J'ai quand même posté les pages d'interview. Sur l'ensemble ça n'est pas très utile car incompréhensible (sauf pour toi, grand fou), mais bon. D'ailleurs elles sont ici organisées dans le sens de lecture d'un mag français (par exemple), alors que ça se lit à l'intérieur de droite à gauche. Mais bon, pour ce qu'on s'en fout. Enfin cette interview annonce la fin du passage Inoue sur ce numéro de SWITCH. Avec ses trois parties (Comic, Document, et Interview donc) et dans les 60 pages, c'en est fini d'Inoue ici. Sur le reste du magazine (qui a l'air d'en être un bon, de magazine, au demeurant), de la musique (Afra), de la bagnole, de la course de bagnoles, du film, du visuel, du voyage, du jeu vidéo et plein de pub...
Il y a d'ailleurs une pub pour l'anime de Slam Dunk peu après l'interviex d'Inoue.
Enfin bon. A noter qu'il existe un dvd retraçant ces quelques jours. On peut bien évidemment le commander un peu partout, notamment via le site officiel d'Inoue (je ne sais pas s'ils envoient en France, mais on peut bien passer par amazon, par exemple). Quoi qu'il en soit, le packaging a l'air sympa et ça ne coûte que 3.900 yens...
En tout cas, sachez que les T-shirts que l'on voit sur une (ou deux) des vidéos sont achetables sur nippon-export.
Cette photo de stickers, est, comme celle des shirts, honteusement piquée à ce blog japonais...
Et oui.
Les stickers, ça ne sert à rien, mais c'est toujours sympa.
Stick.
Stick.
A la fin de la seconde vidéo du site (i.e. celle qui concerne la fin de l'expo), ce petit message;
SLAM DUNK FINAL 2004. 12. 03 - 05
TOTAL : 4982
THANK YOU
Magnifique.